Accueil > l’essentiel de ce que vous recherchez > licenciement, sanctions > faute et prescription
faute et prescription
vendredi 25 juin 2010, par
un précédent article informait de la prescription d’une faute dès lors que l’employeur n’avait pas engagé de procédure de licenciement dans le délai de 2 mois après qu’il ait connaissance d’un fait donnant lieu à une éventuelle sanction.
Un employeur ne peut pas invoquer une série de faits cumulés pour motiver une faute grave dès lors que le délai de 2 mois pour les faits reprochés est dépassé.
Néanmoins, un employeur peut mettre en exergue des faits prescrits éventuellement déjà sanctionnés s’ils sont de même nature que ceux pour lesquels une procédure est engagée.
Documents joints
- info document (Word – 563 ko)
- info document (Word – 563 ko)
Dans la même rubrique
- il ne peut y avoir rupture d’un CDD y compris si le salarié refuse une modification de ses conditions de travail.
- des fichiers extraits de la messagerie personnelle d’un salarié et utilisés ensuite sur son ordinateur professionnel ne sont pas présumés être des fichiers personnels.
- un message laissé sur le répondeur téléphonique d’un salarié peut constituer un élément de preuve
- dossier licenciement
- la procédure de licenciement des salariés protégés
- le pouvoir disciplinaire
- un sms envoyé à l’encontre de sa hiérarchie peut être constitutif d’une faute grave
- une prise d’acte justifiée implique le paiement du préavis par l’employeur
- l’obligation de prudence concerne tout salarié. A défaut, le salarié peut être licencié pour faute grave.
- un employeur ne peut pas utiliser un fait de la vie privée pour sanctionner un salarié